Voici la proposition : créer sur une année un groupe de femmes qui se réunira un soir par mois (à ajuster ensemble, peut-être un peu moins… avec des journées, voire des week-ends).
Un lieu chaleureux et enveloppant, empli de douces odeurs et de douceur, un cadre bienveillant d’accueil et de confiance, pour que chacune puisse prendre place, trouver sa place et s’assoir dans ce cercle que nous formerons, et enfin pouvoir souffler, se poser, se déposer, se livrer et ainsi se délivrer. Sortir des schémas répétitifs, remercier notre didacteur intérieur et se libérer, panser les blessures d’enfance…
Pour ce faire, du corps, du mouvement, de la voix, des échanges, des rituels, des constellations thématiques, des temps de dessins, écriture, collages…, des soins entre guérisseuses (que nous sommes toutes)…
Retrouver ensemble notre ancrage instinctif, nos gestes et nos savoirs, chanter et danser, et enfin, sous un rayon de soleil, ou de lune, à nouveau pleines et entières, retrouver notre force et notre pouvoir : courir avec les loups.
Et ainsi, dans une ronde nouvelle et inédite, inviter les hommes à danser avec nous, différemment.
Programme et thématiques à venir, en lien avec les cycles lunaires, auxquels nous sommes liées, et la place de la lune (entre Terre et Soleil, ou tournée vers l’immensité de l’univers…).
Les outils auxquels je suis formée et avec lesquels nous cheminerons :
Temps d’échange au format Communication Non Violente (vous acquerrez les mécanismes de ce très bel outil au fil de l’année),
Du mouvement et de la voix, de la danse et du rythme, du chant (pas besoin de savoir chanter)
Des constellations familiales et systémiques (beaucoup par groupes de 3 pour un travail en profondeur),
Des rituels de passage, tellement libérateurs et fondateurs,
Des temps de massage, de douceur, pendant lesquels chacune pourra aussi nommer ses limites, puis les affirmer,
Possiblement, dans les temps d’échange, partager un rêve et travailler ensemble sur ce rêve (l’analyse jungienne, que je vis depuis plus de 20 ans, est un outil fondateur en ce qui me concerne) et bien sûr, pour parler en terme jungien, les archétypes, animus/anima et c’est un chemin d’individuation que nous parcourrons ensemble…
Des journées seront posées au fil de l’année, notamment pour partager un temps en nature, un temascal (encore appelé hutte à sudation ou sweat lodge)…
Pour les dates, cela pourrait donner à peu près cela, à adapter quand le groupe sera formé :
Jeudi 22 février – 19h-21h – Récupérer les parts de soi “Femmes qui courent avec les loups”
Vendredi 15 mars – 18h – 21h – Equinoxe – coanimation avec Karine Rognone – Yin/yang – Masculin/féminin…
Dimanche 21 avril – 13h30-18h – Les limites : les toucher, les exprimer, les recevoir – coanimation avec Caroline, Eve, Nakarid
Jeudi 23 mai – 18h30 – pleine lune (à confirmer)
Dimanche 2 juin – Tara Art Spring Festival – beauté, sensualité, féminité
Ateliers de 2h
Participation de 10€
Pourquoi cette appellation de Lune Blanche ?
C’est le prénom Gwendolyn, tellement présent à mes côtés depuis quelques temps, qui m’a donné cet élan.
Etymologie : « dérivé du prénom celtique Gwendolen, composé des mots celtiques gwenn (« blanc », « pur », « sacré ») et dolen (« cercle », « anneau »), on peut donc le traduire par «cercle blanc» ou plus poétiquement «lune d’argent», «lune blanche» ou « anneau sacré ».
Un chant et un poème, très présents dans ce temps d’émergence :
Et ce poème de Verlaine « La lune blanche »
« La lune blanche
Luit dans les bois ;
De chaque branche
Part une voix
Sous la ramée… »
(…)
Un vaste et tendre
Apaisement
Semble descendre
Du firmament
Que l’astre irise…
C’est l’heure exquise. »
